Plus
Image+Nation
Début20 NOV 2025
30 NOV 2025Fin
EKG

EKG

ALLAN BROCKA | ÉTATS-UNIS | 2023 | 16 MIN | VOA

ALLAN BROCKA | ÉTATS-UNIS | 2023 | 16 MIN | VOA

ONLINECourt métrageCOMPÉTITION

Synopsis

Hao Ling, un docteur urgentiste asiatique-américain, n’arrive pas à se débarrasser de sa peur d’avoir détruit sa relation avec son père à cause de son coming out. Lorsqu’un patient lui fait découvrir la scène des soirées gaysian, Hao parvient à se reconnecter à ses émotions et décide de faire le nécessaire pour renouer avec son père, tout en apprenant une importante leçon sur les relations humaines.

Bande annonce

bio cinéaste

Le réalisateur philippin-américain Q. Allan Brocka est né à Guam et a grandi dans le monde entier. Ses films ont été présentés en avant-première à Sundance et Tribeca et ont remporté plus de 70 prix. Il est le créateur et le directeur de la série animée MTV/Logo Rick & Steve the Happiest Gay Couple in All the World, avec Alan Cumming et Margaret Cho. Lorsqu'il n'est pas sur le plateau de tournage, Allan enseigne la réalisation de films dans le cadre du programme d'études supérieures de l'université Chapman et encadre les cinéastes LGBTQ+ en herbe dans le cadre de son travail bénévole à l'Outfest Los Angeles.

production

Todd Lien, Peiyuan Xi

scénario

Todd Lien

cinématographie

Yifu Li

interprétation

  • Michael Sazaki
  • Todd Lien
  • Kay Bebe Queue
  • Gary Hayashi
Image
Image
Image
Image
Image
Image
Image
Image
Image
Image

joue aussi avec

vous pourriez aussi aimer

PosterLong métragevirtual exclusive
Competition Icon
Out (FR)[ZEITGEIST]95 minutes

VO HOLLANDAISE • ST FRANÇAIS | Capturant l'insouciance de la jeunesse et l'excitation des libertés sexuelles naissantes dans une cinématographie sensuelle en noir et blanc, Out de Dennis Alink offre une histoire vivante et douce sur la jeunesse et l'homosexualité. Tom (Bas Keizer, dont la performance est à reconnaître) et Ajani (un Jefferson Yaw Frempong-Manson effervescent) sont des amoureux du secondaire dans le placard qui aspirent à une vie au-delà de leur communauté rurale aux Pays-Bas et à sa mentalité étroite. La solution : Amsterdam, où la scène queer est florissante et où ils peuvent se concentrer sur leur rêve, devenir cinéastes. Rapidement, ils tombent dans la vie nocturne gay de la capitale néerlandaise. Le couple se voit alors frappé de quelques premières sensations fortes : des parties effrontées de « Je n’ai jamais », des promenades en limousine à travers la ville, des visites révélatrices aux bains publics. Mais les défis se succèdent, rapides, et les poussent à se demander séparément : « Qui suis-je et où ai-je ma place ? » Aux airs des films monochromes classiques sur une jeunesse rebelle comme The Last Picture Show et Mala Noche de Gus Van Sant, Alink et ses collaborateur·trice·s queer présentent un portrait vécu et perçant qui prouve que sortir du placard n'est pas seulement une déclaration de sa sexualité, c'est en même temps un voyage joyeux et déchirant à la découverte d’un soi.

PosterLong métragevirtual exclusive
Competition Icon
Out (EN)[ZEITGEIST]95 minutes

VO HOLLANDAISE • ST ANGLAIS | Capturant l'insouciance de la jeunesse et l'excitation des libertés sexuelles naissantes dans une cinématographie sensuelle en noir et blanc, Out de Dennis Alink offre une histoire vivante et douce sur la jeunesse et l'homosexualité. Tom (Bas Keizer, dont la performance est à reconnaître) et Ajani (un Jefferson Yaw Frempong-Manson effervescent) sont des amoureux du secondaire dans le placard qui aspirent à une vie au-delà de leur communauté rurale aux Pays-Bas et à sa mentalité étroite. La solution : Amsterdam, où la scène queer est florissante et où ils peuvent se concentrer sur leur rêve, devenir cinéastes. Rapidement, ils tombent dans la vie nocturne gay de la capitale néerlandaise. Le couple se voit alors frappé de quelques premières sensations fortes : des parties effrontées de « Je n’ai jamais », des promenades en limousine à travers la ville, des visites révélatrices aux bains publics. Mais les défis se succèdent, rapides, et les poussent à se demander séparément : « Qui suis-je et où ai-je ma place ? » Aux airs des films monochromes classiques sur une jeunesse rebelle comme The Last Picture Show et Mala Noche de Gus Van Sant, Alink et ses collaborateur·trice·s queer présentent un portrait vécu et perçant qui prouve que sortir du placard n'est pas seulement une déclaration de sa sexualité, c'est en même temps un voyage joyeux et déchirant à la découverte d’un soi.

PosterLong métragevirtual exclusive
Made au Canada IconCompetition Icon
Sweet Angel Baby[ZEITGEIST]96 minutes

C’est bien connu : les secrets ne restent jamais cachés bien longtemps dans les petites villes. Contrairement aux autres habitant·es d’un village de pêcheurs en Terre-Neuve-et-Labrador, Eliza mène une double vie : elle explore la photographie transgressive tout en manoeuvrant une idylle tacite avec une femme bannie et l’insistance des avances d’un homme marié. Les ouï-dires ne sont qu’à quelques pas… En se faufilant parmi les voisins, Eliza (Michaela Kurimsky) met en scène des séances photo de plus en plus révélatrices dans des endroits à la fois éloignés et proches de chez soi, peut-être trop proches parfois. À chaque nouvelle publication adressée à ses 318 000 abonné·e·s sur Instagram, elle met en péril l'équilibre délicat qu'elle a su bâtir entre sa coexistence avec d'autres villageois·es, sa romance naissante avec Toni (Elle-Máijá Tailfeathers) et l'homme marié (Peter Mooney) dont le désir pour elle titille autant qu’il terrifie. En tant que collectrice de fonds pour l’église, elle aide à organiser les démarches, tout comme les ragots, et des choix se font qui pourraient la briser à jamais. Tour à tour pervers et bienveillant, le deuxième long métrage de Melanie Oates explore nos êtres les plus dément·e·s avec une complexité qui continue de s'approfondir jusqu'au cadre final saisissant. Tout en incarnant un véritable sentiment d'appartenance, dépeignant les côtes râpeuses et les personnalités pleines d'entrain de l'un des endroits les plus isolés et les plus spectaculaires du Canada.

PosterLong métrage
Made au Canada IconCompetition Icon
We Forgot to Break Up[I+N Connexe]93 minutes

Dans la veine de la comédie musicale Stereophonic, lauréate d'un Tony Award, cet incontournable drame est un aperçu aux airs de Behind the Music sur un groupe indépendant torontois des années 2000 aux élans de Fleetwood Mac. Avec un leader trans et des membres queer, The New Normals brise les frontières tout en se brisant les cœurs. S'appuyant sur du matériel concret : le roman Heidegger Stairwell de Kayt Burgess, Karen Knox maintient un contrôle stricte sur de multiples perspectives et esthétiques, en suivant la façon dont chacun des cinq membres principaux gère les premières : premier clip vidéo, premier expérience de sexe par téléphone, premier triangle amoureux. La musique sauve cette équipe soudée des querelles lorsqu’elle n’en est pas la cause, mais ce sont les luttes intérieures, les « fils de connexion et de tension » qui maintiennent leur public avide d’en savoir plus. Le leader trans (Lane Webber) restera-t-il avec sa petite amie queer et partenaire d'écriture (June Laporte) ou trouvera-t-il un air de renouveau avec Lugh (Daniel Gravelle) ? Le groupe va-t-il survivre ou vivre uniquement en hommage ? Ces préoccupations convergent dans un film chargé de désir, d'amitié créative et d'amour téméraire. Regorgeant de talents de taille, y compris dans les crédits de co-écriture de l'écrivaine canadienne primée Zoe Whittall et de l’ancien du festival, Pat Mills, ainsi que des chansons originales de Torquil Campbell (Stars).