Plus
Image+Nation
Début20 NOV 2024
30 NOV 2024Fin
Pour exister (What it Takes)

Pour exister (What it Takes)

KELSI PHUNG + FABIEN CORRE | FRANCE | 2023 | 1 MIN | VOF STA

KELSI PHUNG + FABIEN CORRE | FRANCE | 2023 | 1 MIN | VOF STA

Court métrageFocus France
NOV 28 / 19:00Office national du film du CanadaSalle Alanis-Obomsawin de l'ONF | NFB's Alanis Obomsawin Theatre 1500 rue Balmoral, Montréal Québec H3A 2H7 (métro Place des Arts)

Synopsis

Un court métrage animé très puissant qui raconte ce que cela veut dire d’être une personne queer dans une société cishétéronormative.

Bande annonce

bio cinéaste

Kelsi Phung est un·e illustrateurice et cinéaste non-binaire diplômé·e des Gobelins. Son travail s’intéresse aux vécus LGBTQ+ et aux luttes décoloniales, pour mettre en lumière les histoires des personnes queers racisées.

bio cinéaste

Le travail de Fabien Corre s’intéresse à la tension entre douceur et inquiétude, au glissement du beau à l’horrifique. Ses images s’assemblent à partir de morceaux laissés par des rêves, de sensations puisées dans les couleurs de son enfance en Bretagne ou dans l’influence de la poésie. Elles sont des images perdues ou voilées, sortes d’énigmes qu’il faut faire remonter des profondeurs - ambiances stagnantes, anciennes.

production

Jean Bouthors

scénario

Kelsi Phung, Fabien Corre

interprétation

  • Tadeo Escalante
Image
Image
Image
Image
Image
Image

joue aussi avec

vous pourriez aussi aimer

PosterLong métragein cinema
Miséricorde[Focus France]102 minutesNOV 23 / 17:00

Jérémie est de retour dans son village natal pour l’enterrement de son ancien patron boulanger. Invité à s’installer quelques jours chez la veuve du défunt, il est rapidement confronté aux inquiétudes et menaces d’un ami d’enfance et aux intentions étranges de l’abbé du village. Lorsqu’un voisin disparaît brutalement, le séjour de Jérémie prend une tournure inattendue… À partir du retour d’un enfant prodigue dans son village natal, Alain Garaudie tisse un surprenant thriller rural, riche en suspense et en revirements inattendus, saupoudré d’humour noir qui lui donne un ton unique dans le cinéma français. Parti depuis 10 ans de son village natal, Jérémie y revient pour les funérailles de son ancien patron, boulanger. Il reste quelques jours chez la veuve, qui l’accueille à bras ouverts, et entre en conflit avec son fils, Vincent, jaloux de l’attention que sa mère lui porte. Jérémie erre dans la forêt, se saoule avec un ami d’enfance, tandis que le curé du village croise son chemin trop souvent pour que ça ne soit pas suspect. Difficile de dévoiler les éléments gays de cette histoire sans vendre la mèche. Avec ce film jalonné de revirements, Alain Guiraudie aborde de front le thriller existentiel. Miséricorde commence comme une chronique rurale et, peu à peu, avec beaucoup de finesse, le suspense et le malaise s’installent, le tout saupoudré d’humour très noir. Un septième long métrage surprenant, qui confirme l’univers et le ton uniques de ce cinéaste révélé par L’inconnu du lac, présenté à I+N26, 2013.