Plus
Image+Nation
Début20 NOV 2024
30 NOV 2024Fin
Le flou des arbres -The Blurring of Trees

Le flou des arbres -The Blurring of Trees

FANNY PERREAULT | CANADA | 2024 | 11 MIN | VOF STA

FANNY PERREAULT | CANADA | 2024 | 11 MIN | VOF STA

OFFLINECourt métrageQueerment QuébecCOMPÉTITION

Présenté par

NOV 25 / 19:00Centre PHI407 rue Saint-Pierre, Montréal, QC H2Y 2M3 (métro Square Victoria-OACI)

Synopsis

Deux jeunes femmes sont incarcérées dans une forêt sécurisée du Nord québécois et sont soumises à des travaux de reboisement forcé. Confrontées à l’instrumentalisation de leur corps et à un contrôle insidieux de ce dernier, elles profitent du peu d’espace de liberté qu’elles arrivent à créer avec l’aide d’une agente carcérale particulièrement empathique à leur égard.

Bande annonce

bio cinéaste

Fanny Perreault habite la ville de Québec depuis 32 ans. Après des études en cinéma, en littérature et en design, elle poursuit une carrière de spécialiste multimédia. Elle a réalisé Canicule en 2019 et présentera son second court métrage, Le flou des arbres, en 2024.

production

Club Papaye

scénario

Fanny Perreault

cinématographie

Clauria Kedney-Bolduc

interprétation

  • Myriam Lefestny
  • Marie-Hélène Pagé
Image
Image
Image
Image
Image
Image
Image
Image

PARTNERS

PHIHydro Québec

joue aussi avec

vous pourriez aussi aimer

PosterDocumentairevirtual exclusive
Competition Icon
Nanekawâsis[Voix autochtones]80 minutes

Le travail de l’artiste nêhiyaw (Cree) bispirituel George Littlechild a saisi la réalité des pensionnats autochtones des dizaines d’années avant que celle-ci n’imprègne la conscience collective canadienne. Survivant de la rafle des années 60, Littlechild utilise une technique « fantaisiste » et improvisée pour raconter son exubérance colorée et un traumatisme longtemps gardé pour soi. Le cinéaste Métis Conor McNally fait honneur à son voyage. Littlechild a reçu le nom de son arrière grand-père, nanekawâsis, à un Powwow en 2001. Le film éponyme incarne bien la signification de ce nom : « enfant rapide ». Alors que nous découvrons une enfance éparpillée par les familles d’accueil successives et l’émergence de Littlechild comme un artiste agile, le documentaire relie gracieusement le passé et le présent. Des images d’archives se fondent avec des interviews en 16mm d’un Littlechild âgé de 65 ans, toujours en évolution dans sa pratique artistique, transmettant encore son savoir sur ses ancêtres et l’esprit « Arc-en-ciel ». Tandis que son partenaire John Powell utilise l’art pour éviter d’avancer en roue libre, Littlechild utilise la peinture pour se libérer du poids de sa vie quotidienne, atteignant ainsi une transcendance éclairée qui le guérit autant que son public. Nanekawâsis commence et termine avec l’image d’un ciel coloré, révélant combien la clarté et la noirceur, l’attente et la réflection sont toutes des parties indispensables du cercle de la vie.