Plus
Image+Nation
Début20 NOV 2024
30 NOV 2024Fin
If যদি

If যদি

TATHAGATA GHOSH | INDE | 2023 | 26 MIN | BENGALI STA

TATHAGATA GHOSH | INDE | 2023 | 26 MIN | BENGALI STA

ONLINECourt métrageCOMPÉTITION

Synopsis

Jaya et Fatima, deux femmes en amour, sont séparées par le mariage arrangé de Jaya, orchestré par son père conservateur. Dévastée, Jaya s’apprête à perdre espoir lorsque la vie lui prouve qu’elle a plus d’un tour dans son sac.

Bande annonce

bio cinéaste

Ancien élève de Berlinale Talents, Tathagata a toujours cru qu'il fallait raconter l'histoire de personnes issues de milieux sociaux différents. Des personnes qui n'ont pas de voix propre. Tathagata a écrit des articles sur le cinéma et la réalisation de films pour plusieurs grands magazines de cinéma en ligne. Son roman policier en bengali Senilar Sonket a été publié lors de la 40e Foire internationale du livre de Kolkata en février 2016. Il a également réalisé de nombreux spots publicitaires et clips musicaux et écrit des scénarios pour plusieurs projets. Ses derniers courts métrages Miss Man, Footprints, The Scapegoat, The Meat et The Demon ont été présentés dans de nombreux festivals internationaux prestigieux et ont remporté plusieurs prix.

production

Tathagata Ghosh

scénario

Buan G

cinématographie

Sayan Biswas

interprétation

  • Adrija Majumdar
  • Shivamrita Chakraborty
  • Bimal Giri
  • Paromita Mukherjee
Image
Image
Image
Image
Image
Image
Image
Image
Image
Image

joue aussi avec

vous pourriez aussi aimer

PosterDocumentairevirtual exclusive
Competition Icon
Nanekawâsis[Voix autochtones]80 minutes

Le travail de l’artiste nêhiyaw (Cree) bispirituel George Littlechild a saisi la réalité des pensionnats autochtones des dizaines d’années avant que celle-ci n’imprègne la conscience collective canadienne. Survivant de la rafle des années 60, Littlechild utilise une technique « fantaisiste » et improvisée pour raconter son exubérance colorée et un traumatisme longtemps gardé pour soi. Le cinéaste Métis Conor McNally fait honneur à son voyage. Littlechild a reçu le nom de son arrière grand-père, nanekawâsis, à un Powwow en 2001. Le film éponyme incarne bien la signification de ce nom : « enfant rapide ». Alors que nous découvrons une enfance éparpillée par les familles d’accueil successives et l’émergence de Littlechild comme un artiste agile, le documentaire relie gracieusement le passé et le présent. Des images d’archives se fondent avec des interviews en 16mm d’un Littlechild âgé de 65 ans, toujours en évolution dans sa pratique artistique, transmettant encore son savoir sur ses ancêtres et l’esprit « Arc-en-ciel ». Tandis que son partenaire John Powell utilise l’art pour éviter d’avancer en roue libre, Littlechild utilise la peinture pour se libérer du poids de sa vie quotidienne, atteignant ainsi une transcendance éclairée qui le guérit autant que son public. Nanekawâsis commence et termine avec l’image d’un ciel coloré, révélant combien la clarté et la noirceur, l’attente et la réflection sont toutes des parties indispensables du cercle de la vie.

PosterLong métragein cinemavirtual exclusive
Made au Canada IconCompetition Icon
The Queen of My Dreams[SÉRIES I+N x FMC / CMF]97 minutesNOV 30 / 19:00

Cet hommage à Bollywood et aux liens intergénérationnels est un plaisir des yeux et du coeur couleur bonbon qui remonte le temps, provoque d'énormes sourires et de grands rires tout en abordant les thèmes résonnants des rôles imposés par genre, du racisme passif et des changements sismiques qui accompagnent le fait de grandir. Azra (la superbe Amrit Kaur) vit un bonheur sexuel avec sa petite amie à Toronto dans les années 90 lorsqu'elle reçoit la nouvelle de la mort de son père. Un plan de coupe voltaïque plus tard et on la retrouve dans un avion direction le Pakistan, pour assister aux funérailles de son père avec son frère (Ali A. Kazmi), où sa mère (Nimra Bucha de Mme Marvel) pinaille et sa culture l'exclut du processus de deuil. Un autre plan et nous sommes à Karachi en 1969, emporté par la romance éclair de la mère de Azra qui enfreint les règles (également jouée par Amrit Kaur, soulignant les parallèles mère-fille) et son père fringant (Hamza Haq) avant leur difficile transition vers la Nouvelle-Écosse de 1989. Chaque saut temporel fait ressortir une autre couche de la façon dont la dynamique familiale d’Azra est née. The Queen of My Dreams est, en soi, le rêve d’un·e cinéphile, regorgeant de visuels époustouflants, d’une belle qualité de production et d’une mode fantastique. Illustrant comment le salut peut provenir de sources improbables, et de manière improbable.