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image+nation culture queer / organisme à but non lucratif // mandat: encourager et nourrir la culture LGBTQ+. Par le biais de projets innovants, image+nation LGBTQ+ Montréal explore la diversité des vies LGBTQ+ à travers des récits queer. Aidez-nous à continuer à soutenir et défendre ces histoires. Ensemble, nous pouvons créer un futur pour les créatrices/créateurs et audiences LGBTQ+ en rendant les histoires LGBTQ+ accessibles et disponible à partager pour toutes et tous.

Nous reconnaissons que la terre sur laquelle nous nous rassemblons physiquement et diffusons virtuellement est située sur un territoire autochtone non cédé. Nous reconnaissons la Nation Kanien:keha'ka comme gardienne des terres et des eaux sur lesquelles se produit image + nation. Tiohtià:ke/ Montréal est historiquement connu comme un lieu de rassemblement pour de nombreuses Premières Nations. Nous reconnaissons le riche héritage autochtone de ce lieu qui est une source de fierté et d'inspiration pour toute la communauté montréalaise.

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Dreams of Sunlight Through Trees

Dreams of Sunlight Through Trees

THEO JOE CUTHLAND | CANADA | 2024 | 16 MIN | VOA

THEO JOE CUTHLAND | CANADA | 2024 | 16 MIN | VOA

ONLINECourt métrageVoix autochtonesCOMPÉTITION

Synopsis

Un homme trans transitionne à l’âge de 44 ans et documente sa transformation pendant un an et neuf mois, sur fond de nouvelles portant sur les législations anti-trans en Amérique du Nord.

bio cinéaste

Theo Jean Cuthand est né à Regina, Saskatchewan, Canada, en 1978, et a grandi à Saskatoon. Depuis 1995, il réalise de courtes vidéos et films narratifs expérimentaux sur la sexualité, la folie, l'identité et l'amour queer, ainsi que sur l'indigénéité, qui ont été présentés dans des festivals internationaux.

production

Theo Jean Cuthand

scénario

Theo Jean Cuthand

cinématographie

Theo Jean Cuthand

interprétation

  • Theo Jean Cuthand
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joue aussi avec

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Guardian of Sleep[Voix autochtones]12 minutes

Inspiré d'un rêve et réalisé sur un iPhone, Guardian of Sleep présente une gamme d'images, d'animations dont les marques ressemblent à des pétroglyphes, de troupeaux de caribous en cours d'exécution et de films de l'artiste virevoltant avec des bâtons menant un défilé depuis une forêt. Il met en lumière l’intérêt de longue date de Longboy pour les technologies émergentes et leur potentiel, non seulement en tant qu’outil ou médium, mais aussi en tant que constructions métaphoriques qui, dans ce cas, reflètent les formes que prennent les rêves comme collagistes inhérents.

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Woman Dress[Voix autochtones]6 minutes

Avant la colonisation européenne, une personne bispirituelle qu’on appelait Woman Dress sillonnait les Prairies, recueillant et racontant des récits. Le film s’appuie sur des images d’archives et sur des reconstitutions historiques pour nous transmettre cette histoire issue de la tradition orale de la famille Cuthand.

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The Sound of You Collapsing[Voix autochtones]12 minutes

Une expérience auditive et visuelle onirique qui suit l’insomniaque Noah dans sa lutte pour se libérer de vieux souvenirs de sa relation actuelle avec Connor. Quelqu’un qu’il ne peut pas réparer.

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Découvrez le monde d’Aly et son évolution personnelle à travers les yeux de son nouveau furry, Eden. Aly raconte son prochain personnage, Lusia, qui lui ressemblera en tout point.

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Last Summer[Voix autochtones]21 minutes

Lorsque Ellie apprend que son meilleur ami Sam déménage pour étudier dans une école d’art le lendemain matin, iel a l’impression que leur été ensemble est complètement gâché. Avec l’aide de ses ami·es, iel va faire tout ce qui est en son pouvoir pour passer une dernière journée hors du commun avec Sam.

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Headdress[Voix autochtones]10 minutes

La journée de Tai à un festival de musique prend une tournure inattendue lorsqu’il se retrouve face à face avec une personne blanche portant une coiffe de cérémonie autochtone. Il se retire au fond de son esprit et rencontre différentes versions de son identité pour trouver la meilleure chose à dire.

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Wonderland[Voix autochtones]8 minutes

Un collage poétique un lieu de joie. Attendant la décision d’aller d’ici à là-bas

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Inspiré d'un rêve et réalisé sur un iPhone, Guardian of Sleep présente une gamme d'images, d'animations dont les marques ressemblent à des pétroglyphes, de troupeaux de caribous en cours d'exécution et de films de l'artiste virevoltant avec des bâtons menant un défilé depuis une forêt. Il met en lumière l’intérêt de longue date de Longboy pour les technologies émergentes et leur potentiel, non seulement en tant qu’outil ou médium, mais aussi en tant que constructions métaphoriques qui, dans ce cas, reflètent les formes que prennent les rêves comme collagistes inhérents.

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VO HOLLANDAISE • ST FRANÇAIS | Capturant l'insouciance de la jeunesse et l'excitation des libertés sexuelles naissantes dans une cinématographie sensuelle en noir et blanc, Out de Dennis Alink offre une histoire vivante et douce sur la jeunesse et l'homosexualité. Tom (Bas Keizer, dont la performance est à reconnaître) et Ajani (un Jefferson Yaw Frempong-Manson effervescent) sont des amoureux du secondaire dans le placard qui aspirent à une vie au-delà de leur communauté rurale aux Pays-Bas et à sa mentalité étroite. La solution : Amsterdam, où la scène queer est florissante et où ils peuvent se concentrer sur leur rêve, devenir cinéastes. Rapidement, ils tombent dans la vie nocturne gay de la capitale néerlandaise. Le couple se voit alors frappé de quelques premières sensations fortes : des parties effrontées de « Je n’ai jamais », des promenades en limousine à travers la ville, des visites révélatrices aux bains publics. Mais les défis se succèdent, rapides, et les poussent à se demander séparément : « Qui suis-je et où ai-je ma place ? » Aux airs des films monochromes classiques sur une jeunesse rebelle comme The Last Picture Show et Mala Noche de Gus Van Sant, Alink et ses collaborateur·trice·s queer présentent un portrait vécu et perçant qui prouve que sortir du placard n'est pas seulement une déclaration de sa sexualité, c'est en même temps un voyage joyeux et déchirant à la découverte d’un soi.

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The Queen of My Dreams[SÉRIES I+N x FMC / CMF]97 minutes

Cet hommage à Bollywood et aux liens intergénérationnels est un plaisir des yeux et du coeur couleur bonbon qui remonte le temps, provoque d'énormes sourires et de grands rires tout en abordant les thèmes résonnants des rôles imposés par genre, du racisme passif et des changements sismiques qui accompagnent le fait de grandir. Azra (la superbe Amrit Kaur) vit un bonheur sexuel avec sa petite amie à Toronto dans les années 90 lorsqu'elle reçoit la nouvelle de la mort de son père. Un plan de coupe voltaïque plus tard et on la retrouve dans un avion direction le Pakistan, pour assister aux funérailles de son père avec son frère (Ali A. Kazmi), où sa mère (Nimra Bucha de Mme Marvel) pinaille et sa culture l'exclut du processus de deuil. Un autre plan et nous sommes à Karachi en 1969, emporté par la romance éclair de la mère de Azra qui enfreint les règles (également jouée par Amrit Kaur, soulignant les parallèles mère-fille) et son père fringant (Hamza Haq) avant leur difficile transition vers la Nouvelle-Écosse de 1989. Chaque saut temporel fait ressortir une autre couche de la façon dont la dynamique familiale d’Azra est née. The Queen of My Dreams est, en soi, le rêve d’un·e cinéphile, regorgeant de visuels époustouflants, d’une belle qualité de production et d’une mode fantastique. Illustrant comment le salut peut provenir de sources improbables, et de manière improbable.

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Hello Stranger[COMPÉTITION]16 minutes

Entre deux brassées de linge à la laverie du coin, Cooper partage l'histoire tumultueuse de son parcours de conversion de genre.

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Legacy of Joe Rose: Queer, Bars and Police Brutality[COMPÉTITION]4 minutes

Un court récit sur l’histoire des raids de polices dans les bars queer des années 70 à 2000, et la volonté des communautés LGBTQ+ à s’en défendre. Hommage à Joe Rose.

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Baby (FR)[COMPÉTITION]107 minutesNOV 23 / 21:15

VO PORTUGAISE • ST FRANÇAIS | À São Paulo, un beau gosse de 18 ans, tout juste sorti de prison, et un dieu grec, prostitué et petit dealer, qui pourrait être son père, entretiennent une relation aussi âpre que tendre. Un film fiévreux et émouvant. Couronné à la Semaine de la critique du Festival de Cannes, Baby déjoue toutes les attentes en n’étant jamais là où on l’attend. Ni sentimental, ni misérabiliste, ce portrait superbement filmé d’un couple désassorti montre avec force et finesse toutes les nuances d’un monde de marginaux brésiliens – drags flamboyantes, reprises de justice et paumées ordinaires qui tentent de survivre dans l’implacable mégapole brésilienne. Avec, comme cœur battant, cette histoire érotique et tendre entre deux êtres écorchés qui entretiennent autant un rapport sexuel qu’amical et presque filial. Dans les rôles principaux, João Martino Mariano et Ricardo Teodoro sont bouleversants, le premier tout en sensualité sauvage et le second, en puissance à fleur de peau. Ce second long métrage de Marcelo Caetano confirme tout le talent qu’on pressentait avec le premier, Body Electric (I+N30, 2017).

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Nanekawâsis[COMPÉTITION]80 minutes

Le travail de l’artiste nêhiyaw (Cree) bispirituel George Littlechild a saisi la réalité des pensionnats autochtones des dizaines d’années avant que celle-ci n’imprègne la conscience collective canadienne. Survivant de la rafle des années 60, Littlechild utilise une technique « fantaisiste » et improvisée pour raconter son exubérance colorée et un traumatisme longtemps gardé pour soi. Le cinéaste Métis Conor McNally fait honneur à son voyage. Littlechild a reçu le nom de son arrière grand-père, nanekawâsis, à un Powwow en 2001. Le film éponyme incarne bien la signification de ce nom : « enfant rapide ». Alors que nous découvrons une enfance éparpillée par les familles d’accueil successives et l’émergence de Littlechild comme un artiste agile, le documentaire relie gracieusement le passé et le présent. Des images d’archives se fondent avec des interviews en 16mm d’un Littlechild âgé de 65 ans, toujours en évolution dans sa pratique artistique, transmettant encore son savoir sur ses ancêtres et l’esprit « Arc-en-ciel ». Tandis que son partenaire John Powell utilise l’art pour éviter d’avancer en roue libre, Littlechild utilise la peinture pour se libérer du poids de sa vie quotidienne, atteignant ainsi une transcendance éclairée qui le guérit autant que son public. Nanekawâsis commence et termine avec l’image d’un ciel coloré, révélant combien la clarté et la noirceur, l’attente et la réflection sont toutes des parties indispensables du cercle de la vie.

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La Rivière[Focus France]15 minutes

Un après-midi, trois élèves du secondaire sortent furtivement de leur internat catholique pour filles. Sunny, la nouvelle fille, est allée nager dans la rivière. Sarah a hâte de la rejoindre, même si Clémence désapprouve.

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