Plus
Image+Nation
Début20 NOV 2025
30 NOV 2025Fin
Bangs

Bangs

NANCY WEBB | CANADA | 2024 | 14 MIN | VOA

NANCY WEBB | CANADA | 2024 | 14 MIN | VOA

ONLINECourt métrageMADE AU CANADA

Synopsis

Le jour de ses 30 ans, une femme décide impulsivement de se couper les cheveux elle-même juste avant que ses invité·es n’arrivent - et la coupe est parfaitement réussie ! Bangs est une comédie sur le besoin de reconnaissance d’une femme, et ce qui arrive quand cette reconnaissance n’arrive jamais.

Bande annonce

bio cinéaste

Nancy Webb est une scénariste, réalisatrice et comédienne canadienne basée à Montréal, au Québec. Son premier court métrage, Becca, a été projeté à Wicked Queer (Boston), Image+nation (Montréal), Toronto SketchFest et d'autres, et a été présenté dans le cadre du programme de cinéma canadien du festival NewFilmmakers LA. Ses écrits ont été publiés dans Canadian Art, C Magazine et In The Mood Magazine.

production

Emelia Hellman, Nancy Webb

scénario

Emelia Hellman, Nancy Webb

cinématographie

Naomi Silver-Vézina

interprétation

  • Travis Canoon
  • Andi E McQueen
  • Kelly Kay Hurcomb
  • James Watts
  • Emelia Hellman
  • Nicky Fournier
Image
Image
Image
Image

joue aussi avec

vous pourriez aussi aimer

PosterLong métragevirtual exclusive
Made au Canada Icon
Lakeview[I+N Connexe]100 minutes

Six amies de longue date et une séduisante « nymphe », se rendent sur la côte pittoresque de la Nouvelle-Écosse pour assister à une soirée « Bon débarras » en l’honneur du divorce de Darcy. Au milieu de longues coulées de vin, des histoires enchevêtrées se heurtent de manière bruyante dans cette comédie noire nostalgique. Darcy (Lesley Smith) est enfin libérée de son mariage. Mais cela la place dans le collimateur de Dax (Hilary Adams), une séductrice nerveuse qui a l'habitude d'utiliser le sexe et sa carrière musicale comme un baume envoûtant. Ses autres amies sont là pour la guider, mais elles aussi sont aux prises de distractions majeures : Lucy (Jessica Marie Brown) la boit-sans-soif est sous le choc d'une rupture, Lauren (Nicole Steeves) n'est pas sereine face à l'œil vagabond de Phoebe (Faly Mevamanana), et les deux Julies (Stephanie Clarke, Kat McCormack), rayonnantes de leur grossesse mais figées au lit. Les activités usuelles sur le lac : la randonnée, la natation, et prendre trop d’ecstasy les rassemblent, tandis que le poids des bagages partagés menace de couler leur proverbial canot. La scénariste-réalisatrice Tara Thorne insuffle à Lakeview le mordant de son thriller de vengeance audacieux Compulsus (I+N35, 2022), ajoutant un humour saccadé alors qu'elle navigue habilement d’une crise à l'autre, dessinant les contours de l’alchimie active tout en souplesse d'une véritable amitié.

PosterDocumentairevirtual exclusive
Made au Canada Icon
Flashback[MADE AU CANADA]90 minutes

La redécouverte d’une enseigne lumineuse nous transporte au temps où le disco était roi et où le club Flashback à Edmonton était « le Studio 54 des Prairies ». Au fil des années de descentes policières violentes et de l’avancée du SIDA à une vitesse foudroyante, le club et ses membres nourrissaient un réel oasis de générosité avant-gardiste. Créé et raconté par le professeur et auteur Montréalais Matthey Hays, Flashback est une prise de vue in-situ d’un creuset nocturne situé dans le « lieu le plus Biblique du Canada » qui a su en défier les attentes et devenir célèbre à l’international. Albertan John Reid, interdit d’entrée au Club 70 car il n’était pas assez gay, s’est efforcé de créer son propre espace, celui-ci accueillant, et à tiers égaux : une discothèque, un magasin de vinyl, un centre communautaire. Ici, la jeunesse queer s’épanouit et Gretzky et Sarah McLachlan y font la fête. Tourbillonnez au son de la voix envoûtante de D’orjay et déhanchez-vous avec celleux qui étaient là, à travers des nuages de parfums et de poppers tout en obtenant une introduction fascinante sur la façon dont les concepteurs du club ont calibré la musique disco pour une piste dansante sur mesure. Même lorsque Flashback a finalement perdu de son exubérance joyeuse au cours de l’épidémie du SIDA, il a permis beaucoup : un soulagement au sein d’un tourbillon et une conscience sociale pour les combats à venir.

PosterDocumentaire
Made au Canada IconCompetition Icon
Bulletproof: A Lesbian's Guide to Surviving the Plot[I+N Connexe]105 minutes

Attention spoiler : si vous regardiez la télévision au printemps 2016, il y a de fortes chances que vous ayez été témoin du pic de popularité de la tendance Bury Your Gays. Les femmes LGBTQ+, de Tara de Buffy à Lexa de The 100, ont pris la hache et dans cet exposé brillant enquêtent sur cette tendance consternante et le changement radical qui en a résulté. Au gré d’allers-retours entre Toronto et autres pôles culturels comme L.A. et Londres, Bulletproof déroule son intrigue à la manière d’un grand mystère. Il y a les victimes : des personnages féminins queer. Les meurtriers : des scénaristes de télévision, des showrunners et producteurs tourmentés qui, pour une myriade de raisons expliquées dans le documentaire, ont choisi de tuer les personnages favoris des fans à l’écran. Et puis il y a les détectives : un « réseau arc-en-ciel » de journalistes, de psychologues des médias, de dirigeant·e·s de communautés de fans et bien d’autres qui analysent les catalyseurs et impacts des représentations changeantes queer. Ceci est sans parler de la documentariste elle-même, Regan Latimer, accro à la télévision, « gay comme l'enfer », qui est alors à la sixième année de ce qui était censé être un projet d'un an, et qui sème dans ce film des révélations personnelles, sociétales et scientifiques aux côtés de la sage, Lindy Zucker, son substitut à l’écran. Grâce à des références et à des animations percutantes, Bulletproof prouve que la représentation peut être un enjeu de vie ou de mort et que la fantaisie peut parfois être aussi essentielle que la réalité.